Beatriz Preciado
Publié le 8 mai 2009 par Hugo Lindenberg
Dans son nouvel essai, Testo Junkie, la philosophe espagnole, Beatriz Preciado pirate sa condition de femme à coup d’hormones mâles en gel. Et fait le récit de son addiction progressive à la testostérone et à Virginie Despentes tout en décryptant la société « pharmacopornographique ». Une des figures queer les plus enthousiasmantes du moment.
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Un commentaire sur “Beatriz Preciado”
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Beatriz Preciado
Je vous cite: “Preciado n’est pas une transsexuelle (une femme qui veut devenir un homme).” Une recherche assez simple vous permettrait de voir l’erreur politique dans votre phrase. Il pourrait s’agir ici d’UN transexueL ou de trans, tout court. Entre temps, Preciado a transitionné.
Molécule virile? vraiment. Ou est-ce une hyperbole?