Jean-Jacques Rettig (source : DNA.fr) Il milite contre le nucléaire depuis 1970, bien avant la naissance de la centrale nucléaire de Fessenheim en 1977. Un vétéran anti-radiation contre la doyenne des centrales nucléaires françaises. Dimanche 10 avril, Jean-Jacques Rettig faisait partie des 3 800 manifestants antinucléaires français, allemands et suisses venus pique-niquer devant la vieille centrale pour réclamer sa mise à la retraite. Celle-ci ne produit que 3% de la production électrique nucléaire française, 17% sont exportés en Suisse et 15% dans le Pays de Bade.
« En cas de sabotage terroriste, a avoué l’autorité de sûreté nucléaire, la centrale ne résisterait pas au choc, a expliqué l’antinucléaire aux DNA. Idem en cas de tremblement de terre, comme celui de 1356 qui a détruit Bâle. »
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