De la Schnock attitude
Publié le 3 juillet 2011 par Rédaction LI
Laurence Rémila et Christophe Ernault viennent de lancer avec succès la revue Schnock: une contre-culture du jeunisme ambiant.
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4 commentaires sur “De la Schnock attitude”
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Schmoll n’est pas un schnock
on passe vite pour schnock, par les taons qui courent, quand on refuse d’emboîter le pas à ce qui se présente sous l’appellation de “rupture” (mon dieu… quelles gueules…) mais n’est que la résurgence du passé le plus rance. En ce qui concerne toutefois Eddy Mitchell dit Schmoll, dont le nom est ici rappelé, une précision lui est due. Lui, qui était allé chanter sur place -“juste pour remonter le moral de nos soldats”- au moment de la guerre du Golfe, a par la suite reconnu : qu’il s’était fait “avoir”. Eh bien on en souhaite autant dans l’autocritique (avec tout ce qu’elle a de porté vers l’avenir) à Charlie-Hebdo, qui n’en finit pas de se prendre pour la fine fleur de ce qu’il y a de plus djeune, mais se complait dans un radotage sénile hebdomadaire de mauvais aloi.
L’anti Schnock
Pour mieux comprendre la vacuité de Schnock (pour être très poli) par les temps qui courrent, lire le dernier numéro du Magazine d’Anticipation Politique : http://leap2020.eu/MAP3-Juillet2011-Sommaire_a6875.html
lui, c’est carrément un shmock…
de toute façon ils ne feront jamais aussi bien que le nommé Fillon, qui se grattant de toute évidence là où ça le démange, a accusé une dame de n’avoir pas une culture… TRES ANCIENNE (bingo !) des traditions françaises etc. etc.
L’anti Schnock
je suis allé voir la revue que vous conseillez, accessible sur le web. Qu’est-ce que c’est chiant !