Préférer une pompe à essence à un portrait de Rembrandt
Publié le 9 novembre 2012 par Rédaction LI
Le portrait de fiction plus vrai que nature d'Edward Hopper
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Préférer une pompe à essence à un portrait de Rembrandt
En écho aux toiles d’Hopper où la lumière est nature morte, les plans semi documentaires (plus vivants, même s’ils s’imprègnent de ces éléments de décors) de certains films en noir et blanc de Wenders (Alice dans les villes, Au fil du temps), de Christopher Petit (Radio On – où il y a aussi des pompes à essence), le temps, figé, mortifère, d’Edward Kienholz, objet chez Hopper.
Beaucoup de stations-service abandonnées, tels des cinémas, sans vie, en province. Sans odeurs d’essence. Hors du temps.